Le 25 octobre 2021, la Clinique Saint-Pierre et le bureau d’architecture ASSAR ont dévoilé les premières esquisses du Nouvel Hôpital aux riverains lors de la réunion d’information préalable (RIP). Le Nouvel Hôpital verra le jour à l’horizon 2028 au croisement de la N25 et de la E411.

Un hôpital dans un jardin

C'est sur un terrain de 15 hectares que l'hôpital sera construit. Mais tout ne sera pas bâti, loin de là. L’empreinte au sol de l’hôpital ne représentera que 15% de la surface totale. Le souhait est d’offrir aux patients et aux riverains un vrai écrin de verdure. Une zone tampon d’environ 70m sera également plantée pour protéger le quartier se trouvant en contrebas du terrain.

Un réel besoin de place et de nouvelles infrastructures

Le projet de construction d'un nouvel hôpital est le fruit d’une longue réflexion. La question de rénover le site actuel a bien entendu été étudiée mais il manque de place sur le site d'Ottignies. L’hôpital est encerclé par des habitations ne permettant plus de s’étendre davantage. Alors qu’il y a déjà un manque criant de m² (24 000 !) pour un fonctionnement optimal et aux normes. Au-delà des m², le bâtiment actuel est vieillissant...

Un fort accent sur la mobilité

Situé au carrefour de la N25 et de la E411, la nouvelle implantation sera indéniablement hautement plus accessible que le site d’Ottignies. L’un des permis demandé concerne d’ailleurs, entre autres, l’aménagement d’une nouvelle bretelle d’autoroute sur la E411 dans le sens Namur-Wavre. Une nouvelle sortie sera percée sur le N25 en venant de Grez-Doiceau. La mobilité douce ne sera pas en reste : des contacts étroits ont déjà été entrepris avec le TEC en vue de la création d’une ligne de bus spécifique pour l’hôpital, des navettes vers la gare de Louvain-la-Neuve, des chemins pour les piétons, pour les cyclistes…

Et pour la suite

La prochaine étape qui fait suite à cette réunion d’information préalable est la réalisation d'une étude sur les incidences environnementales.

Plus tard viendra le temps des demandes de permis, en trois phases : la première pour les travaux préparatoires (végétalisation de la zone tampon pour protéger les riverains les plus proches et création d’une zone de chantier), la seconde pour les infrastructures routières et la troisième pour la construction de la clinique en tant que telle. Les travaux commenceront en 2023 pour s’achever en 2028.

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